Citation de Agautier1609
*Prologue*
Yannick est un ami que j’ai rencontré sur un rocher, nous avons tout de suite sympathisé. Il était alors âgé de 25 ans, chaque samedi et dimanche, nous nous donnions rendez-vous pour refaire le monde. Je lui parlais de mes voyages passés, lui me parlait de ses investigations sur les légendes de Bretagne.
Je trouvais ses récits passionnants il était fougueux, intrépide ; tout ce que je n’étais plus depuis quelques années.
Au fil du temps j’ai remarqué que ses recherches étaient plus pointues, pourtant en parallèle, sa vie de famille se construisait. J’aurais pu penser qu’il avait pris ses distances, mais bien au contraire, un jour il arriva près de ma roulotte et s’écria :
« Mon cher Joseph, je crois que j’ai fait une découverte qui va confirmer ma théorie ».
Etant friand des histoires de Yannick, je l’écoutais avec enthousiasme, il me raconta qu’il avait vu de ses propres yeux des créatures comme celles décrites dans les ouvrages celtiques. Il appelait cela des korrigans.
Bien sûr je l’ai pris pour un fou, me demandant ce qu’il allait m’inventer de plus farfelus. Yannick ne cessait de me dire : Il se passe quelque chose près de cette fameuse cascade.
Les semaines suivantes, il les a passés à vérifier cet endroit dans les moindres recoins. Il me parla d’un long voyage qu’il ferait seul…
C’est ainsi que je le vis partir avec son cheval et un sac à dos, avant de s’engouffrer le long d’une cascade, il m’adressa quelques mots, puis il partit.
- Mon cher ami pourras-tu veiller sur Léo mon fils ? Si d’aventures, il se promène par ici, il a six ans et je crois qu’il aura bien besoin d’un peu de ton soutien.
Je lui demandai combien de temps serais-t-il absent, il haussa les épaules, il ne le savait pas.
J’espérais le revoir, dans mon fort intérieur, je me surprenais à penser que ce n’était qu’un simple au revoir
Joseph
Yannick est un ami que j’ai rencontré sur un rocher, nous avons tout de suite sympathisé. Il était alors âgé de 25 ans, chaque samedi et dimanche, nous nous donnions rendez-vous pour refaire le monde. Je lui parlais de mes voyages passés, lui me parlait de ses investigations sur les légendes de Bretagne.
Je trouvais ses récits passionnants il était fougueux, intrépide ; tout ce que je n’étais plus depuis quelques années.
Au fil du temps j’ai remarqué que ses recherches étaient plus pointues, pourtant en parallèle, sa vie de famille se construisait. J’aurais pu penser qu’il avait pris ses distances, mais bien au contraire, un jour il arriva près de ma roulotte et s’écria :
« Mon cher Joseph, je crois que j’ai fait une découverte qui va confirmer ma théorie ».
Etant friand des histoires de Yannick, je l’écoutais avec enthousiasme, il me raconta qu’il avait vu de ses propres yeux des créatures comme celles décrites dans les ouvrages celtiques. Il appelait cela des korrigans.
Bien sûr je l’ai pris pour un fou, me demandant ce qu’il allait m’inventer de plus farfelus. Yannick ne cessait de me dire : Il se passe quelque chose près de cette fameuse cascade.
Les semaines suivantes, il les a passés à vérifier cet endroit dans les moindres recoins. Il me parla d’un long voyage qu’il ferait seul…
C’est ainsi que je le vis partir avec son cheval et un sac à dos, avant de s’engouffrer le long d’une cascade, il m’adressa quelques mots, puis il partit.
- Mon cher ami pourras-tu veiller sur Léo mon fils ? Si d’aventures, il se promène par ici, il a six ans et je crois qu’il aura bien besoin d’un peu de ton soutien.
Je lui demandai combien de temps serais-t-il absent, il haussa les épaules, il ne le savait pas.
J’espérais le revoir, dans mon fort intérieur, je me surprenais à penser que ce n’était qu’un simple au revoir
Joseph