Dans la rue Saint-Denis, les heures sont les heures, les lois de la rue sont inviolables, gare à qui, par exemple, baisserait les prix ou ne travaillerait pas aux heures données. Les filles tournent en brigade, souvent deux par studio : quand l’une redescend, l’autre monte. Cathy me décrit cette rue comme une usine aux postes de travail innombrables.