J'ai acquis une sorte d'aversion pour les sports violents. J'aime les boxeurs, je crains la boxe. (...) Quand je boxais, je n'ai jamais aimé assister aux combats. Il fallait que des amis montent sur un ring pour que je fasse l'effort de m'y rendre. J'étais malade de voir mon frère combattre. Se battre, c'est possible. Regarder les autres, c'est affreux.