Citation de JoeBinet
... Cheval Blanc trouve sa forme définitive en 1971 : 41 hectares dont 36 de vignes. Depuis, le périmètre reste inchangé.
Au cours du XIX° siècle, le négociant libournais s'applique aussi à embellir le bâti : il élargit la ferme existante, ajoute un étage, une tourelle, une chapelle, une marquise, construit l'orangerie, plante un parc et des pelouses devant le perron. Un véritable château de conte de fées, délicat, raffiné, presque féminin, bien loin des solides girondines aux alentours, apparaît. S'attaquant au vignoble, il découvre que l'argile particulière du sol permet de cultiver du cabernet franc qu'il plante sur les deux tiers des 36 hectares de vignes. Son vin gagne en rondeur, en élégance, en complexité aromatique. Vendu alors sous le nom de « vin de Figeac », il décide de le nommer « Cheval Blanc », s'appuyant sur la légende racontant que le roi Henri IV, en visite dans la région, dormit ici, dans ce qui était à l'époque une auberge. Reconnaissant, l'aubergiste rebaptisa son établissement l'auberge du Cheval blanc.
Au cours du XIX° siècle, le négociant libournais s'applique aussi à embellir le bâti : il élargit la ferme existante, ajoute un étage, une tourelle, une chapelle, une marquise, construit l'orangerie, plante un parc et des pelouses devant le perron. Un véritable château de conte de fées, délicat, raffiné, presque féminin, bien loin des solides girondines aux alentours, apparaît. S'attaquant au vignoble, il découvre que l'argile particulière du sol permet de cultiver du cabernet franc qu'il plante sur les deux tiers des 36 hectares de vignes. Son vin gagne en rondeur, en élégance, en complexité aromatique. Vendu alors sous le nom de « vin de Figeac », il décide de le nommer « Cheval Blanc », s'appuyant sur la légende racontant que le roi Henri IV, en visite dans la région, dormit ici, dans ce qui était à l'époque une auberge. Reconnaissant, l'aubergiste rebaptisa son établissement l'auberge du Cheval blanc.