Ma révolte est insouciante et instinctive, pillage de l’être qu’il ne faut pas être, infinité sentimentale jugée et condamnée par le peuple qui veille à ce qu’aucune différence ne dépasse de la normalité admise. Je m’y soumets et lutte contre ce qu’il faut opprimer. Terres criminelles guidées par l’esprit que j’ai dans les vertiges du temps amoureux. Les failles de cette âme fatale ressemblent à un long voyage qui passerait par d’innombrables ponts éloignés. Perte de temps.