J'avoue éprouver une certaine admiration pour ces femmes, les religieuses qui, en deux phrases, arrivent à ensoleiller une journée que je pressentais sombre. Elles ont ce je n'sais quoi qui leur permet d'appréhender toutes les situations avec sérénité et bonne humeur. En y réfléchissant, j'ai beaucoup de difficultés à comprendre comment elles font. Elles qui ne connaissent pas le mariage, sont les premières à plaindre Maman de ne pas avoir tiré le bon numéro. Elles qui n'ont pas et savent qu'elles n'auront jamais d'enfants connaissent, mieux que quiconque, les ficelles de l'éducation.