sous la tente une trentaine de martyrs agonisait, par terre, sur une botte de paille. Un parfum sans nom, fétide, douceâtre, tournait le cœur. (...)tout semblait sortir d'un coup de grisou. Le sang se caillait sous les uniformes en loques... Ces uniformes n'offraient plus ni teinte, ni contour, on ne pouvait comprendre qui étaient les Allemands et qui les nôtres. une grande stupeur les mariait.