Honoré de Balzac est sévère vis-à-vis des ingénieurs des Ponts et Chaussées. Inspiré par son beau-frère Eugène Surville, ingénieur des Ponts et Chaussées passé dans le secteur privé et en conflit avec son administration, Balzac fustige leur formation trop exclusivement scientifique, le principe de la hiérarchie administrative, le centralisme parisien et le poids excessif de la bureaucratie.