Dans les années 1880, de plus en plus d’artistes se désintéressèrent de la peinture en plein air et retournèrent dans leurs ateliers pour y chercher de nouveaux motifs et autres techniques de composition. Il était déjà arrivé plus d’une fois qu’un impressionniste dût achever un tableau dans son atelier, à cause du mauvais temps. Présenter l’impressionnisme comme l’équivalent de la peinture en plein air, comme cela s’est fait jusqu’à aujourd’hui, est en réalité, dans une certaine mesure, une mystification.