L'un deux s'opposait à sa candidature du fait de son statut d'étranger. "Comment un Burkinabé peut-il être président de Côte d'Ivoire ?", disait-il en se répétant. Pour le second, les Burkinabés, tout comme les Maliens, qui ont apporté leur contribution à la construction de ce pays, des grands travaux du canal de Vridi aux plantations de café et de cacao, devenaient de faits citoyens ivoiriens.