Il avait dit que j'avais unchoix à faire. Et les choix ne peuvent se faire sans savoir - sans réponses.
Alors pourquoi je ne me decide pas à ouvrir ce coffret?
La vérité, c'est que j'avais peur des réponses. L'ignorance n'était peut-etre pas toujours une bénédiction, mais elle me semblait préférable à toute la souffrance indissociable des réponses que j'avais obtenues jusque-là.