C’était le genre de livre qui vous serrait le cœur et, une fois que vous l’aviez commencé, même quand vous éprouviez la nécessité de le poser pour souffler un peu, vous continuiez à tourner les pages pour connaître la suite, plutôt que de vous préoccuper d’une chose aussi insignifiante que de respirer. Jackson avait raison, j’adorais cette histoire.