Une fenêtre au n°7 vibre au rythme des images de la télévision, mouvement blafard laissant entrevoir un géranium qui dégouline du balcon. Parfois un homme arrose. Silhouette mystérieuse dans cette végétation foisonnante et incongrue perchée au deuxième étage. Je ne sais pas pourquoi, je pense qu’il a de la couperose sur la joue droite.