Gonçalo Sanchez avait survécu à son naufrage. Il faisait partie de ceux qui pour l'heure survivaient à notre voyage. S'il ne devait en rester qu'un, ce serait lui. Derrière lui, des dizaines de morts, qui n'avaient pas eu son instinct de survie, formidable et animal. Combien d'autres périraient en ce siècle naissant ? Quel peuple de dégénérés la route des Indes pourrait-elle engendrer ?