Arrivés rue du Panier, Idriss et moi, on slalome entre les tables et des chaises disposées devant les cafés. A mesure qu’on descend la ruelle, les gérants et les habitués nous saluent et nous traitent gentiment de « minots ». Les touristes, eux, observent nos échanges avec curiosité. On dirait que ça leur plait d’entendre l’accent chantant du sud et l’authentique parler marseillais.