Si nous pouvions le vendre tout entier à bord, notre poisson, moi, je ne demanderais pas mieux. Car quand il faut se mettre dans les pattes des poissonniers, ils ne veulent rien vous donner et voudraient tout garder pour eux. Nous autres, pauvres diables, nous risquons notre vie en mer, mais les marchands, avec leurs toques de velours, ils s'enrichissent à nos dépens.