« La seule personne a qui je n’ai jamais su cacher cet effroi état mais mere. Pour m’apaiser, elle me disait de sa voix la plus douce : « la nuit, les étoiles brillent car le soleil, parti se reposer, les éclaire. Tant que tu verras les étoiles scintiller, le soleil ne sera jamais bien loin de toi. Il doit juste dormir, comme nous tous, pour pouvoir briller plus encore le lendemain ». En repensant à elle, mon esprit semble se tranquilliser et mon corps, épuisé, s’étale le lentement sur le sol terreux. »