J’aurais voulu continuer à pleurer, maudissant ce monde. Pleurer encore et encore jusqu’à ne plus avoir de larmes. Haïr jusqu’à ne plus avoir d’injure. Me plaindre au point de ne plus rien voir autour de moi. Hurler jusqu’à ne plus rien entendre. Mourir à force de cette haine qui s’invitait volontairement en moi. Mais, je ne pouvais pas... Je ne pouvais me laisser mourir d’une façon aussi lâche. [...] Je me battrais de toute mon âme contre ce Monde pour récupérer ma vie. Je ne laisserais personne me la prendre. Elle m’appartient.