En tout cas, j’ai pensé sans le dire, ce qui est certain c’est que sur Solak, le temps on le voit mieux passer qu’ailleurs, chaque minute ressort bien nette à angle droit, pas comme chez les terriens avec leurs remparts d’activités qui leur bouchent la vue. Ici, le temps, on voit même que ça, c’est comme un troupeau de rennes dans la cour de la Centrale au printemps, on peut pas le rater.