Il y a tellement de livres. Je voudrais n’en manquer aucun. J’explore dans toutes les directions. Je fais d’intenses séjours prolongés dans l’œuvre des auteurs classiques, des sauts de puce dans des titres inconnus sur lesquels un ami, une bibliothécaire, un professeur, une émission à la radio, un débat à la télévision ou tout simplement ma mère ont attiré mon attention. Je me souviens encore avoir lu Le Cheval d’orgueil et L’Archipel du Goulag dans l’édition reliée de France-Loisirs (elle avait choisi ces titres dans son abonnement).