Elle se destinait donc à l’enseignement pour rester dans le monde de la littérature et pour transmettre sa passion à des jeunes gens. Peu importaient le salaire misérable octroyé en France aux professeurs et le mépris dont ils étaient l’objet, elle avait toujours pensé que le vrai luxe était de faire le métier qui lui plaisait, le métier qui donnait envie de se lever tous les matins.