Quoi qu’il en soit, les données épidémiologiques sur les modes de vie et le vieillissement soulignent le rôle des stimulations intellectuelles, sociales et physiques pour conserver un cerveau en bonne forme. Il n’y a pas d’âge limite pour la plasticité cérébrale. Il n’y a pas non plus de recette miracle pour conserver la mémoire. L’important est de rester ouvert sur le monde, d’interagir avec l’environnement, d’échanger et d’apprendre, avec et grâce aux autres. Bref, il suffit d’aimer la vie…