Très loin derrière la ligne de départ, Gérard piétine, s’impatiente : « Je suis chaud bouillant ! Mais qu’est-ce qu’ils attendent pour avancer ? Je perds un temps fou, moi ! »
Peu à peu, la route se dégage, Gérard et ses amis peuvent enfin commencer à courir. Se débarrassant de son blouson de fortune, qu’il jette négligemment sur l’asphalte, Gérard s’adresse à sa femme et à ses copains : « Bonne course ! moi, je vous attends après la ligne d’arrivée ».