Il est 1h24, la réaction s'emballe, le cœur du réacteur se rebelle, déborde de son enceinte et dépasse la simulation pour rendre réelles les pires estimations. Le progrès tant vanté, d'apparence soumis, utilisé sans précaution, se retourne contre les hommes avec la puissance d'un fléau divin. Dans la salle de contrôle, les murs ondoient, les corps se soulèvent, les aiguilles et les voyants hurlent l'horreur avant de se taire. Le silence précède les questions. Il s'est passé quelque chose, mais quoi ?