En lieu et place de la bonne épouse et de la bonne mère qu’elle aurait dû être, elle jouirait de la vie, opposant la loi du plaisir à celle des prêtres. Elle sortirait tête nue et laisserait le vent batifoler avec sa crinière flamboyante. Sa chevelure serait son emblème. Le symbole d’une sensualité triomphante qu’elle ne voulait pas cacher. Elle serait libre, qu’on se le dise ! N’était-ce pas pour cela qu’elle s’était réfugiée en pays païen ?