Le sentiment de liberté qui l’avait envahie lui avait permis de dépasser sa pudeur virginale. Être nue au milieu d’un décor contribuait à l’acceptation de son corps. Cette délivrance rompait les entraves puritaines d’une éducation trop religieuse, couramment destructrice de l’âme originelle au profit de l’hypocrisie ordonnée par un clergé embourgeoisé.