Certains disent qu’il faut « faire confiance au destin », mais j’emmerde le destin ! Y croire, c’est croire en une toute-puissance, et ce n’est pas mon cas. La seule chose qui pourrait s’y apparenter, c’est la terre, créative et créatrice, mais si fragile qu’elle n’a rien d’une toute-puissance. Il n’y a que les paysans ou les jardiniers pour comprendre la fascination et le respect que j’ai pour elle.