Et puis il y a l'autre manière de se sentir offensée, scandalisée... Il y a le silence. Un silence de mort. Le silence autour d'une femme qui n'a jamais porté autre chose que la mort, autour d'un bébé qui n'a jamais existé autrement que mort. C'est lourd, c'est froid, ça déchire, ça tue, ces silences de mort.