Mais ce n’est pas rien, je brûle de désir pour ce type et ce n’est absolument pas dû à l’alcool. Je me consume de dedans. J’ai le feu sacré, les neurones au bord de l’implosion, les ovaires qui libèrent trois ovules chacun à la seconde. Oui, tout mon corps appelle à me reproduire avec lui. C’est bien simple, je pourrais aussi bien mettre une couche pour masquer ce désir. Si j’avais une érection masculine, j’aurais fait un trou dans mon pantalon.