"Ma mère continua d'aller rêver au 'Clairon' dont les saucisses-frites suffisaient à son bonheur. Simplement, elle s'y rendait désormais avec le bus 61 afin de voler quelques instants à la fatalité de la maladie qui allait emporter mon père. Tant qu'elle pût marcher, et jusqu'à quelques semaines de sa mort, elle s'octroya encore ce petit bonheur."