L’air était saturé de plumes et de duvets, de l’odeur âcre des fientes. Ce n’était que roucoulements, pépiements, cancanements dans une agitation fébrile, giflée de grandes envolées d’ailes déployées, tandis qu’Étienne distribuait du grain. Les oiseaux d’Isabelle avaient ici leurs quartiers d’hiver. Au printemps, certains seraient lâchés, d’autres maintenus en cages dans les jardins.