L’orage qui a détruit notre bonheur, qui a changé en une triste solitude la riante scène de notre existence, s’est enfin apaisé ; mais quels désastres n’a-t-il pas laissé derrière lui ! Hélas ! il a emporté dans sa violence tous les obstacles, et arraché de nos mains tremblantes les derniers lambeaux de notre félicité.