Péguy, c'est aussi une symphonie. Péguy est une vraie symphonie quand il écrit. La symphonie du souffle, car Péguy a le souffle symphonique. Si on le lit. Si on arrive à suivre le souffle de l'écrit. Si on n'est pas époumoné avant la fin. (...) Et ce n'est pas la symphonie pastorale Péguy, il n'a rien d'un pasteur. Il n'a rien d'un écrivain qui veut soigner ses ouailles par sa symphonie pastorale Péguy. (...)
Il est juste un poète, mais quel poète ! (p.43)