« Le problème n’en demeure pas moins entier de savoir si, Good ayant réellement existé, Sistac n’est lui-même qu’un simple personnage de roman ou bien s’il est la transformation fictionnelle de la biographie d’un jeune Toulousain qui aurait réellement vécu et qui, dans les années 1860, aurait survécu quelques années dans l’Ouest américain. » (p. 12)