(...) chaque vie fait simplement partie d'un cycle se régénérant à l'infini. Dans cette perspective, nous sommes des étincelles, insignifiantes, fugaces, tout comme les animaux. Nous ne sommes pas plus précieux qu'eux, et nos existences n'ont pas plus de sens que la leur. Pourtant, dans notre mégalomanie et notre quête obsessionnelle du « sens de la vie », nous avons oublié l'essentiel : préserver la planète qui nous tous vus naître.