Mais je crois qu'une des plus grosses surprises a été de découvrir tout simplement... le goût de la tomate! Le vrai goût de la tomate. C'est à peu près comme si nous n'en avions jamais mangé avant d'être dans une AMAP. Je comprends pourquoi Christophe Léon en a fait le titre de sa nouvelle pour la jeunesse qui met en scène une société dans laquelle l'alimentation a été confisquée par l'industrie. Le goût de la tomate, c'est effectivement le goût de la liberté!