J'ai tenu à faire connaître l'histoire d'amour entre une mère et sa fille, mais j'ai aussi écrit cette histoire pour passer un message : on peut être malade d'Alzheimer et être heureux. Que les aidants soient déculpabilisés de ne pas toujours devoir faire mieux, d'avoir atteint leurs limites. Sans leur donner de leçon, qu'ils puissent adapter leur comportement pour vivre mieux la maladie, tout en s'apaisant. p. 298 et 299