Il en va ici comme d’un arbre, dont les racines correspondent en taille et en circonférence à la canopée. L’étrangeté, nous l’ancrons dans ce qui est caché, dans ce qui est enfoui sous la terre tout autour de nous et nous prolonge. Les fruits, ce que nous voyons, qu’ils soient mûrs ou pourris, vivants ou morts, correspondent à ce que, dans la nature, nous ne pouvons pas discerner et, dans la famille, à ce que nous n’avons pas le droit de voir. Au tabou.