Nulle voiture à Paris, sinon quelques ambulances, des camions de livraison, des véhicules officiels électriques et peu rapides. L’automobile avait fait son temps : un siècle de vie. Le vingtième. Une seconde de folie collective dans l’ère civilisée – celle que L’abbé Conteur surnommait « les Temps Égoïstes ».