Des centaines de morts chaque semaine. De véritables suicides collectifs. La technique, la publicité, les arguments de vente concernant le plaisir de la vitesse transformaient ces véhicules en machines à tuer légalement. Si l’on avait, à ce moment-là, demandé aux automobilistes de voter pour la limitation de la vitesse, se seraient-ils raisonnablement prononcés en masse pour elle ? Non. Cette limitation fut imposée – comble de l’ironie, pour des raisons d’économie d’essence, et non de vies humaines !