Citation de collectifpolar
Higgins fit résonner la petite clochette.
- Entrez, ordonna une voix décidée. C’est ouvert.
L’ex-inspecteur-chef s’exécuta. Suivi de Scott Marlow, il pénétra dans une petite maison remplie de petits objets. Tout était propre et impeccable. Sur des étagères, des livres rangés avec soin, sans un gramme de poussière sur les tranches. Des rideaux brodés à la perfection isolaient les trois pièces – une pièce à manger, un salon et une chambre – du monde extérieur.
- Puis-je vous être utile ? demanda Agatha Herald. Seriez-vous souffrant ? Je ne vous ai jamais vu par ici ! Apparemment, vous n’êtes pas du village.
Scott Marlow fut, dès l’abord, fasciné par cette femme robuste, bien en chair, campée avec assurance sur ses jambes. Agatha Herald avait le teint clair et l’œil vif. C’étaient des Anglaises de cette trempe-là qui avaient fait et entretenu la grandeur de leur pays. C’étaient elles qui luttaient contre la dégradation des mœurs.
- Nous appartenons à Scotland yard, indiqua Higgins et nous menons une enquête sur la disparition tragique de Mr Jason Laxter.
L’institutrice écarquilla les yeux.
- Que voulez-vous dire par disparition ?
- Il est mort, madame Herald.
- mademoiselle… Mademoiselle Herald, rectifia-t-elle mollement, comme si elle pensait à autre chose.
Ses yeux se gonflèrent de larmes qu’elle parvint à contenir.
- Entrez, ordonna une voix décidée. C’est ouvert.
L’ex-inspecteur-chef s’exécuta. Suivi de Scott Marlow, il pénétra dans une petite maison remplie de petits objets. Tout était propre et impeccable. Sur des étagères, des livres rangés avec soin, sans un gramme de poussière sur les tranches. Des rideaux brodés à la perfection isolaient les trois pièces – une pièce à manger, un salon et une chambre – du monde extérieur.
- Puis-je vous être utile ? demanda Agatha Herald. Seriez-vous souffrant ? Je ne vous ai jamais vu par ici ! Apparemment, vous n’êtes pas du village.
Scott Marlow fut, dès l’abord, fasciné par cette femme robuste, bien en chair, campée avec assurance sur ses jambes. Agatha Herald avait le teint clair et l’œil vif. C’étaient des Anglaises de cette trempe-là qui avaient fait et entretenu la grandeur de leur pays. C’étaient elles qui luttaient contre la dégradation des mœurs.
- Nous appartenons à Scotland yard, indiqua Higgins et nous menons une enquête sur la disparition tragique de Mr Jason Laxter.
L’institutrice écarquilla les yeux.
- Que voulez-vous dire par disparition ?
- Il est mort, madame Herald.
- mademoiselle… Mademoiselle Herald, rectifia-t-elle mollement, comme si elle pensait à autre chose.
Ses yeux se gonflèrent de larmes qu’elle parvint à contenir.
