Les anciens frontaliers se sont empressés d’effacer les traces matérielles allemandes de cette infamante frontière : les poteaux dans les champs, les guérites les barrières, les anneaux d’interdiction furent arrachés détruits. Les baraquements allemands furent démolis ou récupérés par les propriétaires des terrains où ils se trouvaient, ou par les communes.