C’est pour briser cette ambiguïté [d’un Dieu ni vraiment immanent, ni vraiment transcendant] et sortir de cette impasse que [Jung] fait de cet Etant suprême « la plus formidable des Créatures » […]. Cette apparente réduction de l’archétype divin ne vise en réalité qu’à lui rendre sa dimension intégrale d’immanence et de transcendance.