La bibliothèque lui avait alors paru organisée selon une échelle croissante des plaisirs. Les ouvrages rébarbatifs – commentaires bibliques, livres de piété – rasaient le plancher. Plus haut, les traités d’art mécanique, d’anatomie, d’horticulture ; le droit, l’histoire, la géographie ; les encyclopédistes, les poètes dramatiques, les romanciers. Enfin, en prenant le risque de se rompre le cou, on touchait au septième ciel de la littérature.