La peur, la colère, la rage, la tristesse étaient des fardeaux, dans un combat. Seuls comptaient les déplacements, les coups, les esquives, la mise à terre de l’ennemi. Il n’y avait pas de pitié à avoir, pas de colère à éprouver. La vie était épouvantable, il fallait s’en accommoder, et Keller l’avait appris à la dure. La victoire, c’était l’unique but.