Population bordelaise au 18eme siècle.
Aussi bien sur le port qu'à l'intérieur de la ville les transports à dos d'homme assurés par les portefaix et les crocheteurs laissaient la place aux charrettes traînées par des chevaux ou des boeufs, ainsi qu'à des traineaux tirés par ces derniers. Il y avait donc à Bordeaux beaucoup de chevaux et de boeufs, d'écuries et d'etables et une activité grouillante avec pour conséquence que l'on circulait déjà fort mal...