Entre les matins passés à l'atelier Cormont, et les après midi où il court les salons et les expositions, il appréhende peu à peu le fossé qui sépare l'art officiel, celui de Bonnat, Cormont, Laurens et Carolus-Duran, de l'art en mouvement tel que les impressionnistes, déjà, le revendiquent et le pratiquent.