C’était surtout le langage alambiqué des fonctionnaires qui commençait à l’exaspérer. Les médecins étaient devenus des générateurs de coûts ; les patients, des clients ; et les administrateurs vociféraient comme des gérants d’estrade en essayant de sauver leurs emplois qui se dédoublaient. La meilleure façon de tuer la médecine était de la noyer sous la paperasse.