A la fin des années 1990, la mode a été de ces romans policiers "Meurtres à" : l'occasion de pénétrer dans le quotidien d'une institution. Les auteurs étaient généralement bien informés, car venant de la partie, mais n'avaient pas forcément de grandes aptitudes à écrire un polar qui tienne la route. Celui-ci y arrivait. Mais le monde qu'il décrit n'existe plus, internet et l'informatique ont définitivement enterré les lieux physiques où les échanges économiques se réglaient.
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