Cley sortit de l’ombre pour que l’homme vit bien l’arme qu’il avait dégainée, sans pour autant se séparer de la caisse qu’il avait calée sous son bras libre. Le fusil à canon scié qu’il cachait dans son dos, sous son long manteau, se trouvait maintenant dans sa main et fixait, de son œil unique et froid, l’homme qui emprisonnait Velline.